lundi 17 décembre 2018

Le tâche de K'encre n°61 en ligne


Journal du club presse du collège René Descartes du 17 décembre 2018. Au sommaire : - Noël, c'est nul ! - Les gilets jaunes, ils sont partout - Les portables au collège, la lutte continue ! - Cellule de crise au collège - Une fessée à la fessée
tache 2 k-encre 61 by on Scribd

mercredi 5 décembre 2018

Splash n°16 en ligne

Splash n°16 by Silence Noir on Scribd

mardi 4 décembre 2018

L'identité numérique


L’identité numérique est l’ensemble des traces numériques qu’une personne ou une collectivité laisse sur Internet. Toutes ces informations, laissées au fil des navigations, sont collectées par les moteurs de recherche, comme Google, et sont rendues public. Une identité numérique, ou IDN, peut être constituée par : un pseudo, un nom, des images, des vidéos, des adresses IP, des favoris, des commentaires etc. Cette identité sur internet a donc une influence sur la e-réputation, sur la façon dont les internautes perçoivent une personne. En résumé, lidentité numérique est l’image que vous renvoyez sur internet, votre image virtuelle, dématérialisée.
Cette identité virtuelle se crée par le biais des réseaux sociaux, comme Facebook ou Twitter, ou des publications sur un blog. Les sites web de tous les genres construisent également notre identité, grâce à laquelle vous pouvez donc être connu et avoir une présence en ligne. Mais ces données, qui se retrouvent à la portée de tous, constituent un risque permanent pour les utilisateurs et pour la protection de leur vie privée. Aujourd’hui, les informations inscrites sur Internet sont très difficiles à effacer. C’est pour cette raison qu’il est préférable de bien réfléchir avant de laisser une trace numérique afin d’éviter toutes les conséquences négatives d’une mauvaise e-reputation.

mardi 27 novembre 2018

Le club presse est de retour !

vendredi 23 novembre 2018

Le Tâche 2 K'encre n°60 en ligne !


Tache 2 k'encre n°60 by on Scribd

mardi 20 novembre 2018

Conseils pour BIEN apprendre une leçon




Où trouve-t-on les idées essentielles d’une leçon ?

- dans les titres et les sous titres
-dans les mots clefs : soulignés ou en couleurs, ils sont fondamentaux. Ce sont les outils permettant de penser ou d’exprimer précisément une idée. On doit en connaître la définition précise et savoir les réutiliser dans une situation nouvelle.

Apprendre : chaque élève est unique :

Chacun mobilise son savoir de façon différente :

- Si vous avez plutôt une mémoire visuelle
- Apprenez plutôt par écrit
- faites des fiches,
- mettre des couleurs dans les leçons car on retient ce que l’on VOIT
-vous pouvez aussi faire des schémas, des dessins, et des cartes mentales.

- Si vous avez plutôt une mémoire auditive
            - Apprenez plutôt à voix haute car on retient ce que l’on dit.
            - Écouter bien en classe
            - Raconter sa leçon
- Vous pouvez vous inventer des chansons
-N’hésitez pas à répéter vos leçons


jeudi 15 novembre 2018

Les 4 livres sélectionnés pour le prix du roman contemporain

Si vous êtes en 4ème vous pouvez participer  à ce prix : vous pouvez vous inscrire par l'intermédiaire de votre professeur de français ou en venant vous inscrire directement  au CDI

lundi 15 octobre 2018

13 conseils pour mieux apprendre, par le neuroscientifique Stanislas Deh...




vendredi 12 octobre 2018

La pédophilie

La pédophilie, numéro du P'tit Libé N°75 - 12 au 18 octobre 2018

Pédophilie : tu as peut-être déjà entendu ce mot à la télévision, à la radio ou dans la presse écrite, sans savoir exactement de quoi il s’agit. Parce qu’il est important de comprendre qu’un enfant doit être respecté, «le P’tit Libé» a choisi de t’expliquer comment se protéger de ces violences sexuelles. Lis ce numéro avec un adulte pour pouvoir poser les questions que tu souhaites et en parler ensuite si tu as des inquiétudes. La grande majorité des adultes ne sont pas dangereux avec les enfants mais il faut savoir que la pédophilie existe pour faire attention. Si tu as d’autres questions, tu peux aussi nous écrire à leptitlibe@liberation.fr.

lundi 1 octobre 2018

Qu'est qu'apprendre ?


Apprendre n’est pas seulement mémoriser par cœur ! L’important pour apprendre est d’abord de comprendre. C’est aussi de penser à l’importance de ce que l’on mémorise, donc d’avoir le désir de le faire.Travailler les erreurs est une très bonne façon d’apprendre. Il est important de comprendre ce qui n’a pas marché pour essayer autrement.


Apprendre c’est donc :
Comprendre et mémoriser : on apprend à partir de ce qu’on sait déjà
Utiliser et partager : on mobilise des savoirs
Se tromper et dépasser l’erreur : on se remet en question.
Apprendre pour rester maître à bord !


Tout se joue en cours !
Afin de mieux mémoriser les leçons à apprendre, il faut
- Être attentif en classe (ne pas arriver fatigué ; se coucher tôt).
- Écouter et participer en répondant aux questions
- Demander des explications pour bien comprendre
-Soigner son cahier : écrire lisiblement, mettre des couleurs pour mieux se relire, prendre le cours correctement et entièrement.
- Ne pas effacer les erreurs. Elles permettent de progresser. Je dois les corriger en vert.

mercredi 19 septembre 2018

Cerner le sujet d'une recherche




lundi 3 septembre 2018

Comment réussir son affiche

mercredi 18 juillet 2018

Suite du Spectacle "Au pied du mur" Partie 3




Suite du Spectacle "Au pied du mur" Partie 2




Restitution des projets du collège René Descartes 2018 partie 1




lundi 25 juin 2018

Splash n°15

Splash n°15 by rapidolezoo on Scribd

lundi 14 mai 2018

L'aube sera grandiose disponible au CDI




lundi 26 mars 2018

Les publicités radiophoniques des 5ème 6

dimanche 4 mars 2018

Le splash n°14 en ligne !

Splash n°14, février 2018 by Silence Noir on Scribd

lundi 19 février 2018

Le temps des Amours, Marcel Pagnol

Marcel Pagnol est né le 28 février 1895 a Aubagne et il est mort le 18 avril 1974. Il était écrivain, dramaturge et cinéaste du XX° siècle. Il est le fils de Joseph Pagnol, un instituteur et Augustine Lansot, une couturière.
Marcel est le fils aîné d'une famille de 4 enfants, c'était une personne comblée. Il avait tout, la gloire d'abord ce qui ne le dérangeait pas pour qu'il puisse s'amuser car c'est ce qu'il souhaitait. L'amusement ne l'a pas empêché de gagner de l'argent et ça, il en a gagné.
Moi j'ai lu "Le temps de amours", un livre qu'il a écrit entre 1959 et 1962 mais qui n'avait pas été publié directement. Ce livre raconte les années de collège de Marcel.  Il y a dans ce livre toutes ses aventures, ses rencontres, ses bêtises etc.

C'est une histoire qui raconte ses années de collège, la fondation de l'organisation secrète, le jeu du pendu... Certaines choses virent à la catastrophe. Vu que Marcel est boursier, il doit un avoir un bon comportement mais il va avoir une heure de colle et c'est son ami Lagneau qui va le sauver avec sa technique secrète qui peut-être cessera de fonctionner... Lagneau va à son tour se faire sauver par Marcel qui se fera passer pour un héros. Cette histoire raconte également la découverte à Marcel de son amour pour la poésie.

C'est un livre que j'ai aimé mais ce n'est pas celui que je préfère. J'ai beaucoup aimé la complicité entre Lagneau et Marcel mais je n'ai pas vraiment aimé le comportement de Lagneau. N'aurait-il pas pu éviter toutes ces bêtises pour sa mère et sa tante et puis pourquoi sa mère et sa tante ne réagissent pas? Certes, le père à Lagneau est sévère mais sa mère et sa tante auraient pu avoir un peu d'autorité pour qu'il n'en soit pas ainsi et pour que dès le début Lagneau aie le comportement qu'il a adopté juste après que Marcel l'aie sauvé. Et puis même, on dirait qu'elles ont peur du père.
Dans ce livre, mon personnage préféré est Yves car j'ai pris plaisir à lire les deux chapitres dans lesquels il apparaît, "le coup de foudre de l'amitié" m'a beaucoup plu dommage qu'on en sache pas plus sur lui. Enfin, c'est une histoire avec un peu d'humour tout de même et qui vaut la peine d’être lue.
Stella Ovsepian

« Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela

J’ai lu « Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela publié aux éditions de Little, Brown and Compagny.
Nelson Rolihlahla Mandela était avocat avant de devenir Président de l’ANC (Africain National Congress) et Président de l’Afrique du Sud. Né le 18 juillet 1918 à Mvezo au Transkei et mort le 5 décembre à Johannesburg. Il eut une enfance heureuse bordée d’insouciance malgré la pauvreté et l’isolement de Qunu, son village. Il fait partie de la tribu des Thembus, d’où son nom de clan « Madiba » en xhosas. Son père, Gadla Henry Mphakanyiswa est chef du village et sa mère, Noseki Fanny, est fermière. Suite à la mort de son père, pour un avenir prometteur et une meilleure éducation, il est confié au régent de son peuple. Au cours de son parcours scolaire, du premier banc d’école à l’université mondaine de Fort Hard, on peut ressentir le poids que la suprématie blanche exerce par le biais de son éducation, son enseignement et sa doctrine britannique.
Ce livre autobiographique est source de faits historiques. Il raconte la vie d’un combattant de la liberté, rythmée par les interdictions de la loi d’apartheid. En ayant été contraint de franchir des étapes toujours plus lourdes de conséquences et pourtant indispensables à la poursuite du combat. Avocat, clandestin, prisonnier, négociateur puis Président, M.Mandela nous fait rendre compte de sa prise de conscience progressive sur l’importance de la lutte anti-apartheid et de son engagement personnel.
Ce que j’en pense 
Dans ce livre, mon personnage préféré est Nelson Mandela dont le courage, la détermination, l’intelligence, le sens du sacrifice et la sagesse ont permis de faire du peuple africain un seul et même mouvement, une seule et même nation. Tout au long de la lutte, il a fait preuve d’une grande humanité et ce, même au cours des heures les plus sombres. Il a su en tirer profit pour la transmettre à son peuple et le tirer d’une violence et d’une oppression majeure. Suite à cela, je me suis posé bon nombre de questions, en voici quelque-unes :
-« Pourquoi l’Occident n’a pas réagi dès la mise en place de la politique et des lois d’apartheid ? »
-« Pourquoi ce combat vers la liberté a pris autant de temps sachant que les raisons de lutter étaient si vitales, évidentes et légitimes ? »
-«  Pourquoi les communistes ont inspiré tant de méfiance de la part du gouvernement africain et encore aujourd’hui, dans notre pays ? »
Grâce à ce récit, j’ai pris conscience de l’importance qu’a la politique dans la société et sa dangerosité si elle n’est pas bien maniée. On peut aussi se rendre compte de la manière qu’elle a de dessiner son pays et de tenir en laisse la mentalité d’un peuple. Je considère ce livre comme l’une des œuvres littéraires les plus importantes en vue d’enrichir la culture générale de chacun. Je conseille ce livre pour tous ceux qui ont soif de liberté, qui veulent espoir et humanité et qui en recherchent une preuve.
Inès Aggairi

Le cri de la mouette, Emmanuelle Laborit

Le cri de la mouette, écrit par Emmanuelle Laborit, parut en 2003 et édité aux éditions « POCKET Jeunes Adultes », est une autobiographie qui parle du monde des sourds.

Emmanuelle est née sourde. Les 7 premières années de sa vie ne sont que des anecdotes, des flashs car elle ne comprenait pas le monde qui l'entourait. Lorsqu'une porte se ferme ou quand on tape des mains, elle y prête attention. C'est le frère aîné de son père qui dit :« Emmanuelle crie parce qu'elle n'entend pas » Ses parents l’emmenent chez un spécialiste à l'âge de 9 mois, qui leur dit qu'Emmanuelle est sourde. Ils ne veulent pas y croire mais doivent se rendre à l'évidence. Si elle réagissait au claquement de porte, c'était dû aux vibrations du sol. Le temps passe, Emmanuelle a sept ans, son père entend parler à la radio de « la langue des signes ».Il décide donc d'emmener sa fille à Vincennes pour apprendre cette « langue ». Plus tard, sa petite sœur,Marie, naît.Emmanuelle part avec ses parents à Washington pour découvrir la façon de vivre des sourds américains. Elle y apprend notamment comment dire « Marie » en langue des signes.
À onze ans, elle rentre en sixième aux cours Morvan mais il y est interdit de s'exprimer en langue des signes. La jeune fille est révoltée, tout ce temps passé à apprendre la langue des signes pour ne pas pouvoir l’utiliser !
À treize ans, Emmanuelle décide de ne plus travailler, pas d'accord avec tout ce qui se passe. Dominée par l’adolescence, elle veut trouver l’amour et fait la connaissance d'un jeune homme sourd avec qui elle va sortir. Elle échange avec lui son premier baiser. Mais, cet amour s'achève lors d'une fête quand Emmanuelle le trouve avec une autre fille. Elle commence à rentrer de plus en plus tard, à faire l’école buissonnière. Elle et son père ne s'entendent plus. Plus tard, ses parents divorcent. Emmanuelle continue les fêtes, les cigarettes, l’alcool, la drogue, mais après avoir dépassé les limites, elle cesse de faire des bêtises.Elle se dirige vers l’avenir et commence à faire du théâtre et tourne dans un film. Sa mère ne lui cesse de lui répéter cette phrase : « passe ton Bac d’abord ». Elle essaye alors de le passer.
On lui propose un implant cochléaire à placer dans l’oreille interne et qui lui permettrait d’entendre. Mais elle refuse car elle veut rester comme elle est. Elle tente de passer son Bac une deuxième fois et l’obtient. Elle joue alors dans une pièce de théâtre,Les Enfants du silence où elle est sélectionnée aux Molières et remporte le Molière de la révélation théâtrale devenant la première personne sourde à en gagner un.
Ce que j'en pense
J'ai bien aimé ce livre même si ce n'est pas mon style de livre. Par contre, mon personnage préféré est le père d'Emmanuelle car on s'attache à lui. On se rend compte qu'il a fait beaucoup de chose pour sa fille comme l'aider à apprendre la langues des signes ou lui faire découvrir d'autres horizons.
Danlloba Fofana

"On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans" de Barbara Samson

J'ai lu "On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans" de Barbara Samson, publié aux éditions Fixot.
 Barbara Samson est une écrivaine, née le 7 février 1975 à Chartres, en France.
Barbara est la cadette d'une famille de trois enfants. Elle a eu une adolescence difficile auprès de ses deux parents.

Ce récit est une autobiographie racontant la vie mouvementée de Barbara Samson : une adolescente de dix-sept ans un peu paumée et en quête d'amour et qui, selon elle, n'en reçoit pas assez. Ce livre répond à toutes les questions et les petits tracas qu'on se pose à l'aube de l'âge adulte.

Le livre raconte surtout le quotidien d'une adolescente anorexique envoyée dans une clinique pour qu'elle s'alimente mieux. Malheureusement, elle croise le chemin d'Antony, qu'elle croit être l'amour de sa vie. Amadouée par ses jolis mots et ses poèmes d'amour, elle commet une tragique faute en lui offrant sa virginité.

Dans cet ouvrage, mon personnage préféré est la mère de Barbara, elle est présente dans une bonne partie du livre, cela m'a permis de mieux la connaître. J'aime l'amour désespérée qu'elle porte à sa fille, sa patience devant une adolescente difficile et parfois méchante,et sa persévérance pour comprendre et sortir sa fille de la pagaille. Ce personnage m'a vraiment touchée malgré ses excès de colère. Je me suis remise en question, j'ai réalisé que nos parents voulaient notre bien avant tout.

Ce livre fait vraiment réfléchir les adolescents comme nous. Il dénonce une triste vérité qui existe encore de nos jours, il nous fait comprendre qu'on ne se protège pas seulement pour nous mais aussi pour les autres. Je recommande ce livre, il fait comprendre l'ampleur d'une bêtise d'une nuit,ce qu'on ne comprend pas réellement en cour d'SVT...

C.Marcadal

« Vipère au poing » d’Hervé Bazin

J’ai lu « Vipère au poing » d’Hervé Bazin, publié aux éditions Livre de poche.
Hervé Bazin, de son vrai nom Jean-Pierre Hervé Bazin, était écrivain et poète français du XX ème siècle. Né le 17 avril 1911 à Angers (France), mort le 17 février 1996, il passe son enfance dans le Maine-et-Loire à Marans aux côtés de son père Jacques Hervé Bazin, avocat et enseignant durant plusieurs années à l’université, et de sa mère Paule Guilloteaux mais aussi de ses deux frères. En opposition constante avec sa mère, il enchaîne les fugues pendant son adolescence et refuse de passer les examens à la faculté catholique de droit d’Angers. À l’âge de vingt ans, il s’éloigne de sa famille et décide d’entrer à la faculté de lettres. En 1946, il créé la revue  « La coquille » et en 1947, il obtient le prix « Apollinaire » pour « Jour ». Les souvenirs douloureux de son enfance lui inspirent le roman « Vipère au poing » en 1948. Grâce à cette œuvre, il obtient le grand prix de littérature de Monaco en 1957. Enfin, Hervé Bazin devient membre de l’Académie Goncourt en 1960 et en devient le président en 1973 .Ce livre est autobiographique. Dedans, il y raconte l’ensemble de sa jeunesse mais surtout il nous fait part des conflits qu’il a eus avec sa mère qu’il appellera « Folcoche ».
Le livre commence lorsqu’Hervé Bazin a une dizaine d’années.Il vit aux côtés de sa grand-mère qu’il trouve gentille, juste et sage. Hélas, la mort de cette dernière et l’arrivée de ses parents vont tout bouleverser. Il va vite comprendre que la vie heureuse et paisible qu’il menait jusqu’à présent est révolue. En effet, leur mère leur impose des horaires à ne pas dépasser, des règles plus farfelues les unes que les autres sans oublier qu’elle leur demande aussi de respecter et de suivre scrupuleusement un emploi du temps. Pour Hervé Bazin, c’est le début d’un long combat puisqu’il choisit de s’opposer à sa mère qui va lui faire subir les pires brimades.

Ce que je pense

Dans ce livre mon personnage préféré est Mlle Lion, la gouvernante. Bien qu’elle fasse de brèves apparitions dans cette autobiographie, je la trouve très attachante dans sa façon d’être. C’est une femme bienveillante qui aime s’occuper des enfants, d’ailleurs, elle leur donne l’amour dont leur mère les prive. De plus, affectueuse avec les enfants Rezeaux, elle n’hésite pas à rétablir la vérité et à prendre leur défense contre leur mère lorsque cette dernière les accuse injustement d’avoir commis une bêtise. Malheureusement, elle sera renvoyée.
Durant ma lecture, je me suis posé cette question : « Aujourd’hui le statut social permet-il encore d’imposer sa supériorité aux autres ? ». En effet dans l’autobiographie, la famille d’Hervé Bazin use et abuse de leur position sociale pour dominer.


Critique

Pour ma part, « Vipère au poing » retrace bien la jeunesse d’Hervé Bazin. Grâce à la finesse de ses mots et à sa précision, on peut facilement se rendre compte de l’évolution de l’auteur depuis son enfance jusqu’à la fin de son adolescence. Avec toutes les anecdotes dont fait part l’auteur dans son livre, on peut ressentir les sentiments qu’éprouvait le personnage et mieux comprendre son état d’esprit ainsi que ses relations compliquées avec sa mère. Ce livre autobiographique est pour moi complet et riche, autant en vocabulaire qu’en émotions.
Laura HOFFMANN

" J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir" de Christine Arnothy

Christine Arnothy est une autobiographe. Elle  raconte son histoire pendant la 2éme guerre mondiale ( 1939-1945 ) dans un livre intitulé : " J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir" , suivi de : " Il n'est pas si facile de vivre".  Elle est née en à Budapest en Hongrie, en 1930. Christine, depuis toute petite, aimait la littérature et la langue française.

La première partie:" J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir" .
Lors de cette partie, Christine n'avait pas plus de quatorze ans. L'auteur, nous raconte à travers son journal sa vie pendant deux longs mois dans les caves. Christine, sa familles et ses voisins ont dû se réfugier dans des caves pour se protéger des bombardements des Allemands et des Russes. Dans son journal, elle se livre sur ses peurs, ses envies.. On comprend alors, que la seconde guerre mondiale atteint toute l'Europe et non juste l’Angleterre, la France ou l'Allemagne.
Quand les Allemands sont enfin partis, l’ambiance en Hongrie pèse toujours. L’ambiance est délétère. Donc elle et sa famille décident de partir du pays grâce à un passeur... Mais ils vont vite comprendre que ce n'était pas forcément la meilleure solution...
Je trouve cette première partie émouvante, passionnante, et très instructive.
La deuxième partie est: " Il n'est pas si facile de vivre"
La seconde partie se passe deux ou trois ans après. Jeune femme, elle vit dans la peur et les souvenir de la seconde guerre mondiale. Dans cette partie, elle et sa famille vont dans un camps pour réfugiés, le camps de Kulfstein plus précisément. Plus tard, Christine va partir et va se réfugier en France. Elle vit de petits boulots. Habituée à vivre plutôt luxueusement étant petite, elle va avoir du mal à trouver sa place. Pour trouver sa place, Christine va se servir de son talent pour l'écriture, qui va lui servir pour se construire un futur plus radieux...
Cette seconde partie, je l'ai trouvée moins prenante que la première, mais pour autant toujours émouvante.
Durant son histoire, on voit bien qu'elle est traumatisée à vie. Pourtant, elle essaye malgré tout de raconter les faits sans nous traumatiser et dramatiser les choses. Pour autant ça n'enlève pas la force et la sincérité  de cette histoire.
Cette histoire je l'ai trouvée passionnante, touchante. Cependant j'ai eu du mal à me mettre dedans au début. Pour m'y mettre vraiment, j'ai dû attendre un ou deux chapitres..
J'ai aussi trouvé cette biographie très instructive, surtout sur la vie des réfugiés, passionnante, émouvante et ça m'a fait ouvrir les yeux sur la seconde guerre mondiale..
            Chloé Dubreuil.