mercredi 4 février 2015

« vipère au poing » de Hervé Bazin

J'ai lu « vipère au poing » de Hervé Bazin, publié aux éditions livre de poche. Hervé Bazin est un écrivain et poète du Xxème Siècle. Il est né le 17 avril 1911 à Angers et est mort le 17  février 1996 à Angers. Il est issu d'une famille aisée. Son père Jacques Hervé-Bazin est docteur en droit, avocat de profession, et il enseigne durant plusieurs années en Indochine. Sa mère, Paule Guilloteaux, est la fille de Jean Guilloteaux député puis sénateur du Morhiban. Il passe son enfance à Marans, dans la propriété du Patis, où il s'oppose à sa mère qui est autortitaire est sèche. Il fugue plusieurs fois et refuse de passer ses examens à la faculté catholique de droit d'Angers qu'on lui a imposée. Hervé-Bazin est considéré comme « un romancier de la famille ». Ce livre « vipère au poing » est un récit largement autobiographie sorti en 1948 qui décrit son enfance et son adolescense difficile .
 Le livre commence par Jean Rézau (dit Brasse-Bouillon) qui étrangle une vipère. Jean et son frère Ferdinand sont élévés par leur grand-mère paternelle. Suite au décès de leur grand-mère, leurs parents reviennet d'Indochine avec un nouvel enfant Marcel.
On découvre au fil du texte que leur mère est une mère horrible. Elle les pique à table avec sa fourchette, les enfants n’ont plus le droit au café au lait le matin mais à la soupe, ils ont les cheveux tondus par mesure d'hygiène et, par sécurité, elle ôte les poêles, les édredons et les coussins dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels.Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils peuvent porter avec de la paille s'il fait froid…Leur mère sera surnommée « Folcoche ».

Ce que j'en pense     
Dans mon livre mon personnage préféré est Jean. Parce quil arrive à faire preuve de courage devant une mère aussi horrible. Il arrive à faire façe devant toutes ses épreuves difficiles.
Je me suis posée la question « Comment peut-on vivre avec une mère aussi horrible ? »
J'ai beaucoup aimé ce livre. Ce qu'il est dommage, j'ai trouvé qu'il n'avait pas assez de dialogues. 
Lucie Furet

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