dimanche 27 décembre 2015

Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo



Victor Hugo était écrivain,poète,personnage politique Français au 19 ème siècle.Né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mais 1885 à Paris.Il s'est marié avec sa meilleure amie et ils eurent 5 enfants.Il est connu pour avoir écrit:Les Misérables,Notre Dame de Paris,Odes et Ballades.
Le livre que j'ai lu parle d'un condamné dont on ne sait pas grand chose à part qu'il a une fille, une femme et une mère.Il décrit sa cellule et ce qu'il a vécu les quelques heures avant son exécution.Le thème de ce livre porte sur les prisons au 19ème siècle et la peine de mort.Il y a un personnage principal mais je pense que Victor Hugo voulait parler en général sinon il y a la fille de ce personnage qui m'a choqué car elle ne reconnaît pas son père.
En question, j'aurai posé pourquoi est il le seul à se battre contre cette peine?
Pourquoi se bat t-il pour cette cause et pas une autre?J'ai trouvé dommage que l'on ne présente pas plus le personnage et qu'il n'y ait pas assez de suspense,sinon tout est bien décrit et on se sent concerné dans cette histoire.Cela donne envie de se battre pour que cette peine n'existe plus.
Alexandre Cuvert

Inconnu à cette adresse

J’ai choisi de lire « Inconnu à cette adresse » qui est un livre de Kathrine Kressman Taylor. Ce livre a été publié aux éditions Flammarion.



L’auteur 
Kathrine Kressman est née à Portland (États-Unis) en 1903. Elle est d’origine allemande. Après des études de littérature et de journalisme, elle déménage à San-Francisco où elle travaille dans la publicité. En 1928, elle épouse Elliot Taylor, elle ajoute le nom de son mari au sien et s’appelle donc Kathrine  Kressman Taylor. En 1938, l’auteure déménage à New-York et écrit :«  Inconnu à cet adresse », choquée par le nazisme et l’antisémitisme. Sur les conseils de son éditeur et de son mari elle publie son livre sous le nom de Kressman Taylor pour ne pas souffrir de la dévalorisation des femmes dans la société. Katherine Kressman Taylor commence à enseigner le journalisme et la littérature à l’université en 1947. Son mari meurt en 1953. Elle part vivre à Florence (en Italie) en 1966 et se marie à un sculpteur, John Rood. Lorsque ce dernier meurt en 1974, Kathrine partage sa vie entre l’Italie et les États-Unis. Kathrine a écrit plusieurs livres depuis « Inconnu à cet adresse » (qui est sans doute son plus grand succès) comme « Jour sans retour », « Ainsi rêvent les femmes » ou «  Journal de Florence inondée ». En 1986 l’auteure s’installe définitivement aux États-Unis. « Inconnu à cette adresse » est republié pour la commémoration de la libération des camps de concentration, le livre remporte un véritable succès. Kathrine Kressman meurt entre 1996 et 1997.

Le livre 
« Inconnu à cette adresse » est une nouvelle épistolaire. Elle raconte l’histoire de deux amis, Max, un marchand d’art  juif et américain et Martin un marchand d’art Allemand venu aux États-Unis. L’histoire commence le 12 novembre 1932, dans une lettre que Max écrit à Martin. Martin est reparti vivre en Allemagne avec sa famille et Max semble désespéré par ce départ, il écrit à son ami sa solitude et son envie de le revoir. On apprend un peu plus loin que Martin a eu une aventure extraconjugale avec la petite sœur de Max, Griselle  mais qu’il l’a quittée pour rester auprès de sa femme. On voit à travers les lettres de Martin la montée d’Hitler et du nazisme en Allemagne. Au départ de légères hésitations teintent les lettres de Martin au sujet d’Hitler puis il est emporté avec enthousiasme et critique ouvertement les juifs dans ses lettres adressées à Max qui est lui-même juif. Max se pose des questions et suppose que son ami a été forcé d’écrire toutes ces paroles antisémites. Il lui envoie une lettre lui demandant s'il est bien obligé d’écrire ces lettres nazies, il lui parle aussi de Griselle (elle aussi juive) qui malgré le danger qui plane sur les juifs est partie jouer une pièce à Berlin.
Ce livre parle de la force des nazis qui réussissaient à embrigader des centaines de personnes et de la force de l’amitié qui relie Max à Martin.  

Ce que j’en pense
Mon personnage préféré est Max. On voit dans ses lettres qu’il est très attachés à Martin qui est comme un frère pour lui. Lorsqu’il répond aux lettres antisémites de Martin, sa douleur mélangée à l’espoir que ce ne soit pas vrai, m’a bouleversée. Quand j’ai lu la réponse négative de Martin je me suis immédiatement mise à la place de Max et j’ai eu l’impression de ressentir ses émotions tellement ses espoirs semblaient brisés. Max se retrouve seul, sans amis et le seul qu’il ait part en Allemagne et devient nazi tandis que sa sœur part à Berlin. Max se rend compte que son amitié avec Martin est terminée,  il lui répond avec une admirable dignité et sa simple demande d’accueil de sa sœur n’est pas acceptée par Martin. La seule chose qui m’a déçue est la vengeance de Max après la mort de sa sœur provoquée par Martin. Bien qu’elle soit « légitime », j’aurais aimé que Max ne s’abaisse pas à ce niveau. Il semble profondément gentil et je pense que c’est la douleur qui l’a poussé à écrire ces lettres pour se venger.
Ce livre montre la limite de l’amitié. Comment deux hommes qui étaient comme des frères peuvent-ils se retrouver dans cette situation ? Pourquoi l’un d’eux s’est-t-il laissé entrainer dans ces horreurs ? Je me suis posé des questions sur la manière dont j’aurais réagi à la place de Max. Je pense que ce livre remet en question notre humanité et notre conscience profonde.
J’ai trouvé ce livre magnifique mais son histoire horrible. Les réactions de Martin m’ont dégoutée.  Ce livre a été très bien écrit par Kathrine Kressman Taylor, aujourd’hui je pense mieux comprendre (même si je ne peux pas parler de compréhension en ce qui concerne les nazis) les évènements de la Seconde Guerre Mondiale concernant les nazis. Je pense relire ce livre car malgré son aspect tragique il m’a beaucoup ému.
Justine Grollier

lundi 14 décembre 2015

Tâche 2 K'encre n°57 en ligne !

Tâche 2 k'encre n°57-14 décembre 2015

lundi 23 novembre 2015

Le tâche 2 K'encre n°56, en ligne

Tâche 2 K'encre n°56

jeudi 19 novembre 2015

Café philo mardi au lieu de jeudi sur le thème du collège de demain.


Attention, le café philo est avancé à mardi  car jeudi à 13h il y a une répétition danse avec des élèves de 5ème au café philo .

mardi 17 novembre 2015

Café philo exceptionnel : les attententas du 13 novembre et après...

jeudi 19 novembre 2015 à 13 h au café philo
Venez nombreux pour parler et débattre des attentats de vendredi dernier...

mardi 10 novembre 2015

Jeudi pas café philo

Jeudi  : répétions de danse avec des 5ème en salle de danse à 13h.
Prochaines répétions le jeudi 24 novembre et le jeudi 30 novembre au café philo à 13h pour la préparation de la représentation du 7 décembre au théâtre Blossac.

mercredi 4 novembre 2015

Demain café philo 13h : les jeunes et leur avenir

Pas d'affiche cette semaine mais un café philo préparé par la 3ème journalisme : sur les angoisses des jeunes face à l'avenir. Jeudi 5 novembre 2015 à 13h

mardi 13 octobre 2015

Jeudi 14 octobre café philo dans le cadre du festival de la presse avec Antonio Tavarès

jeudi 1 octobre 2015

Café philo sur le nucléaire, exceptionnement mardi 6 octobre

 Avec Hélène Shemwell, qui est allée à Fukushima

Quelques notes sur le café philo : le végétarisme, doit-on arrêter de manger de la viande ?

C’est quoi un végétarien ?
Emilie : « C’est une personne qui mange pas viande et pas de poisson ;  pas d’animaux morts ».
Quentin : « ça ne sert à rien d’être végétarien parce que les animaux même si tu ne les manges pas, ils sont déjà tués ».
Fille 3ème : « Mais si on est nombreux à devenir végétariens, il y aura moins d’élevage ». 

Pourquoi être  végétarien ?
Fille 3ème : « Je suis végétarienne pour ne pas faire souffrir les animaux, mais je n’ai jamais vraiment aimé la viande, ça m’a toujours un peu dégoûtée ».
Séverine : « Je suis végétarienne pour des raisons d’abord écologiques (dégradation de la qualité de l’eau, énergie, baisse de la biodiversité, effet de serre) , mais ça ne fait pas si longtemps que je suis végétarienne, j’y suis venue de façon progressive. Parce qu’il y a de plus en plus de ferme- usines ou de poulaillers  industriels où les animaux sont considérés comme des machines à produire de la protéine… J’y suis venue aussi pour des raisons de santé… »

La mort des animaux…
Garçon 6e: « Je n’aimerais pas être obligé de tuer les animaux que je mange, quand je mange de la viande, je n’imagine pas que ça vient des animaux ».
Fille 6e : « Un jour, j’ai vu ma grand-mère tuer une poule, ce jour là, je n’ai pas réussi à manger de la viande ».
Garçon 3e : « Quand on mange un steak, on n’imagine pas que c’est un cadavre de vache ».
Jacques : « Je connaissais quelqu’un qui pouvait manger du steak  haché, mais pas du lapin, qui ressemblait trop un animal ».
Garçon 5e : « la langue le bœuf, c’est répugnant parce que ça ressemble à une langue humaine en plus gros, et on nous force à en manger ».
Garçon 6e : « C’est comme la cervelle, ça ressemble trop à notre cerveau…on a l’impression de manger de l’humain ». 

Pourquoi, souvent,  on oblige les enfants à manger de la viande ?
« Parce que ça donne de la force », « parce qu’il y a du fer », « parce qu’il faut des protéines ».

Est-ce qu’il y a du fer et des protéines que dans la viande ?
Séverine : « Il ya du fer dans beaucoup d’aliments qui ne viennent pas des animaux : la levure de bière, le quinoa, les légumes et fruits secs… Il faut manger aussi des aliments complets : céréales complètes… Les protéines se trouvent aussi dans les végétaux comme le soja et les lentilles. Il faut juste faire plus attention à ceux que l’on mange ».

Pourquoi certaines personnes ne mangent pas de viande mais mangent du poisson ?
Fille 6e : « Le poisson se reproduit facilement, il fait plein d’œufs et puis ça fait moins mal de voir un poisson mourir, on a l’impression qu’ils ne souffrent pas, ils ne crient pas». 

Est-ce qu’il y a des animaux que vous ne mangerez jamais ?
« Je ne mangerais jamais de chien, il y a un lien trop fort entre l’homme et le chien ».
« Moi, c’est les chevaux, parce que tu les montes, tu les caresses, tu t’occupes  d’eux… ».
« Moi, c’est les dauphins, parce que c’est un animal intelligent, c’est gentil et puis les singes parce qu’ils ressemblent aux hommes».