vendredi 23 mai 2014

UN PASSAGE POUR HÉRISSON !


Cliquez, pour tout savoir sur le passage à hérisson 

Pour assurer le passage de la petite faune (lapin, hérisson, écureuil) à travers des
clôtures en grillage,  une ouverture facile à installer dans ta clôture. 

mardi 20 mai 2014

Le Tâche de K'encre n°50 en ligne !

tache 2 k-encre 50 by Silence Noir

Café philo avec des artistes flamenco : 22 mai 13h

dimanche 4 mai 2014

« L’enfant » de Jules Vallès

J’ai lu « L’enfant » de Jules Vallès, publié aux éditions « Le livre de poche ». Jules Louis Joseph Vallez (de son vrai nom) était un écrivain réaliste, un journaliste et un homme politique. Né le 11 juin 1832 à Puy-en-Velay (France), il est  mort le 14 février 1885 à Paris (France). Jules Vallès est le troisième enfant dans une famille de paysans, son père Jean-Louis Vallez est professeur et sa mère Julie Pascal est une paysanne sans éducation. Ses parents le battent tous les jours sous prétexte qu’il ne faut pas gâter les enfants. Jules Vallès aura été dans trois collèges différents : à Puy-en-Velay, à St-Etienne et  au Collège Royal de Nantes. Il y a eu beaucoup de conflits entre Jules Vallès et son père car il n’avait pas les mêmes idées. Jules Vallès n’a pas son baccalauréat mais arrive à ses fins quand même. Puis plus tard, en mars 1848, il crée le Club républicain de la Jeunesse de Bretagne et de Vendée avec son ami Charles-Louis Chassin. En septembre 1848, il quitte Nantes pour Paris et il va au pensionnat de Lemeignan puis va au  lycée Bonaparte. Il écrit le premier volet de la trilogie (L’enfant, Le Bachelier, L’insurgé) de sa biographie en 1878/1879.
Ce livre parle d’un enfant Jacques Vintgras qui porte d’ailleurs les mêmes initiales que Jules Vallès, qui se fait battre par ses parents, qui a une enfance très difficile, qui voyage de collège en collège entre Puy, St-Etienne, Nantes et Paris. Il n’a pas les mêmes idées que son père, alors cela crée beaucoup de conflit. Jacques rencontre pleins de personnes notamment son grand-oncle qui est prêtre et qui lui lègue son héritage. D’ailleurs, il dédie ce livre : «  A tous ceux qui crevèrent d’ennui au collège ou qu’on fit pleurer, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leur maîtres ou rossés par leur parents, je dédie ce livre. »
Ce que je pense :
Dans ce livre, mon personnage préféré est Jacques Vintgras car sa façon de voir les choses et de positiver même quand il est dans les pires situations me plait. Par exemple, quand tous les enfants ont le droit d’aller jouer à la balançoire sauf lui, il ne pense pas qu’il est puni mais que les parents des autres enfants veulent tuer leurs enfants et que sa mère veut le protéger. Il pense que la balançoire est très dangereuse et qu’on pourrait se tuer avec. Mais cependant, le personnage de la mère est tout aussi intéressant car elle bat son fils tous les jours parce qu’il ne faut pas trop gâter les enfants et elle donne de l’oignon  à son fils car il n’aime pas ça mais elle ne veut pas lui donner du poireau parce qu’il aime ça. Le meilleur moment du livre est à la fin quand Jacques apprend que ses parents l’aiment donc il peut partir sereinement à Paris malgré une blessure qu’il a à la jambe .Ce livre est intéressant est porte à réfléchir sur l’éducation des enfants.
Lucie Ait-Amara

« Le journal de Zlata » de Zlata Filipovic

J’ai lu « Le  journal de Zlata » de Zlata Filipovic, publié à l’édition Pocket jeunesse. Zlata Filipovic est née le 3 décembre 1980 à, Sarajevo en Bosnie-Herzégovine. Enfant unique ses parents étaient ouvriers. Elle était bonne élève. A l’époque, elle était âgée de onze ans elle tenait déjà un journal intime mais quand la guerre de Sarajevo en 1991 éclate c’est à ce moment là qu’elle confie et raconte l’horreur de la guerre et sa vie pendant la guerre à son journal. Elle surnommera son journal Mimmy.
Le livre commence par le premier jour où elle écrit dans son journal le lundi 2 septembre 1991 puis le jour suivant, elle écrit comment s’est passée sa rentrée avec ses amies et les professeurs puis elle raconte sa rentrée à l’école de musique le jeudi 19 septembre 1991 où elle a des cours de piano et de solfège. Les cours de tennis ont repris aussi. Elle raconte la vie d’une enfant normale, d’une enfant heureuse ; elle raconte ses journées à l’école,ses vacances, les anniversaires de ses proches. Son père était officier de réserve et devait partir tous les deux jours à Dubrovnik à partir du samedi 19 octobre. Le mercredi 23 octobre 1991 il y a la guerre à Dubrovnik mais ça ne chamboule pas trop sa vie comme elle habite à Sarajevo et que là bas il n’y pas la guerre. Le lundi 6 avril 1992, commence la guerre à Sarajevo.  Zlata voit tout ce qui se passe à la télé. Elle ne va plus à l’école ; aucune école à Sarajevo n’est ouverte. Les jours qui suivent il y a des coupures d’électricité par moments, puis c’est l’eau puis le gaz. Ca revient et ça repart à cause des bombardements. Ils font des aller- retour de l’appartement à la cave mais leur cave est lugubre. Un jour où il y eut des bombardements, les voisins les Bobar les invitent dans leur cave. Celle-ci est mieux que celle de la famille de Zlata et pendant la guerre, il se réunissent tous dans les caves. Parfois les tirs diminuent puis reprennent de plus belle,  ils entendent aussi les obus tomber. L’automne, l’hiver, le printemps, l’été passent. Noël, le nouvel an passent et c’est toujours la guerre. C’est de plus en plus difficile,  il n’y a plus beaucoup de nourriture presque pas d’électricité. L’assemblée qu’elle surnomme «ces chers bambins » ne trouve toujours pas d’accord. Elle voit ses proches partir dans d’autres pays. Certains, restés à Sarajevo, sont blessés, d’autres meurent. Une de ses professeurs lui demande un extrait de son journal et le donne à la télé. Il est alors imprimé en de nombreux exemplaires et envoyé dans le monde entier. Des journalistes de partout dans le monde viennent alors l’interviewer et elle passe à la télé à la radio. Des photographes la prennent en photo. Tout a brulé dans la ville, la poste, la maternité, la bibliothèque… Elle fait une présentation de son journal devant des journalistes, des photographes et ses proches. Après qu’elle est rentrée chez elle, les jours suivant, les bombardements reprennent. La guerre s’arrête enfin le 14 décembre 1995. 
Ce que j’en pense.
Le livre peut être intéressant car on peut voir la guerre et ses horreurs à travers les yeux d’une fille de onze ans mais comme toute œuvre de ce genre,  ce n’est pas objectif car elle ne voit pas tout ce qui se passe. Elle ne comprend pas tout et elle ne voit que le côté bosniaque. Cependant ce livre peut quand même un peu aider à comprendre ce qui s’est passé à Sarajevo au moment de la guerre,  les horreurs qu’il y a eu  des innocents qui sont morts.  
Marina Savanovic

" Le scaphandre et le papillon " de Jean-Dominique Bauby

J'ai lu " Le scaphandre et le papillon " de Jean-Dominique Bauby , publié en 1997. Jean-Dominique Bauby était un journaliste français. Né le 23 avril 1952 à Paris, mort le 9 mars 1997. Né dans le 14e arrondissement de Paris, il a  grandi rue du Mont-Thabor derrière le jardin des Tuileries, en habitant dans l'immeuble où a vécu  Alfred de Musset. Il fait une carrière de journaliste d'abord à Combat puis au Quotidien de  Paris. En 1974, il signe son premier article le jour de la mort de George Pompidou , il a été rédacteur de plusieurs magazines comme Elle, Le Matin de Paris ... Le 8 décembre 1995,  il a été  victime d'un accident vasculaire cérébral qui l'a mis dans le coma et quand il en est sorti, il était atteint du syndrome d'enfermement :  il ne pouvait bouger que sa paupière gauche qui lui permettait de maintenir les communications avec les personnes ."Le scaphandre et le papillon " est son premier livre autobiographique où il raconte sa vie depuis le lock in syndrome qui l'a touché, en racontant ses journées passées à l'hopital de Berck .
Le livre commence par le prologue où il raconte ses sentiments, qu'il se sent emprisonné comme dans une sorte de scaphandre qui lui serre tout le corps. Puis ensuite, il raconte differents moments  de sa vie qu'il a passés avant d'être atteint du lock in syndrome. Au début, il croit qu'il pourra remarcher, se lever un jour et ne pas avoir besoin du fauteuil roulant qu'il voit en face de son lit mais il est vite rattrapé par la réalité des choses et s’aperçoit qu'il restera comme ça toute sa vie, même si au fond je pense qu'il a quand même un peu d'espoir encore de remarcher un jour. Sinon, il raconte comment il a fait pour communiquer avec les autres, lettre après lettre .
Ce que je pense
Dans ce livre, je n'ai pas de personnage préféré car c'est autobiographique et l'auteur parle plus de lui, de sa vie. Certes, il ya d'autres personnage mais on ne sait pas trop sur eux car ce ne sont que des figurants. Mais il y a quand même un petit côté attachant car ça fais de la peine quand il raconte sa souffrance qu'il a d'être dans ce corps qui ne bouge plus, de ne plus pouvoirle contrôler. Je me suis juste posé une question : " Comment il pouvait vivre comme ça , en étant enfermé dans un corps qui ne répond plus ? .
 Océane T. 3eme1