mardi 1 mai 2012

" Claire obscure" de Françoise Grard par Aurélie Fournier

J'ai lu " Claire obscure" de Françoise Grard, publié aux éditions de Gulf Stream.
Françoise Grard est née en 1957. Elle est professeur de lettre dans la région parisienne et mère de trois enfants, elle a passé son enfance à visiter les pays du monde entier. Elle décide de s'installer à Paris pour suivre des études de lettres. C'est grâce à ses enfants qu'elle découvre la littérature de jeunesse, elle adresse ses premiers manuscrits a " Actes Sud" qui choisira de les publier. Le public amateur est conquit par ses belles histoires. Mais ses manuscrits sont, quelquefois, jugés comme peu accessible mais sont traités avec justesse sur des sujets profonds comme la complexité des relations familiales ou la trahison.

Le roman commence, par le jour de la rentrée des classes. On commence par faire la rencontre d'Alice Dupont, une fille intelligente âgée de 11ans qui rentre en classe de sixième. Elle a deux sœurs, une plus grande, qui approche les 15ans, et une petite. Toutes trois s'occupent à tour de rôle de leurs mère malade. En classe, un professeur lui donne la place à coté d'une autre fille, Claire. Claire Lanier. Elle a 11ans, elle est riche mais en échec scolaire. Elle font connaissance, et Alice ressent comme un "coup de foudre" pour Claire, amicalement parlant bien sûr. Ce qui n'est malheureusement pas le cas pour Claire qui utilise Alice...

Dans ce livre, mon personnage préféré est Alice, le personnage principal. Bien qu'elle ce fasse embobiner par Claire. Elle aide ses deux sœurs, pour soigner sa mère, elle souhaite devenir médecin et met toute les chances de son coté pour y arriver. On s’attache vite à ce personnage.

Au début du livre, certaine phrase m’ont donner l'impression de n'avoir aucun sens. Je m'y suis prise a deux fois pour enfin y comprendre le vrai sens. C'est un livre court, qui se lit vite. Une fois plonger dans l'histoire, difficile de décrocher.
Je trouve la description des filles dans les première pages un peu longue, mais cela vaut quand même la peine d'être lu.

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