lundi 21 mai 2012

« Un long chemin vers la liberté » de Nelson Mandela par David Martin

« J'ai lu « Un long chemin vers la liberté »de Nelson Mandela, qui a été publié au édition Fayard.

Nelson Mandela est un grand personnage politique Sud Africain qui a décidé d'écrire son livre et seul livre « Un long chemin vers la liberté »en prison. Nelson Mandela est né le 18 juillet 1914, dans un village en Afrique du Sud qui s'appelle Mvezo. Nelson Mandela est issu d'une grande famille royale(les Thembus).A l'âge de 9 ans il perd son père mort d'une tuberculose. Donc à partir de ce moment il va être sépare de sa mère pour aller vivre dans un autre village où il va être adopté dans une famille riche. En 1998 il devient président de la république de l'Afrique du sud. Pour la suite de son autobiographie je vous laisse la découvrir par vous même.

Dans ce livre Nelson Mandela retrace son enfance, son emprisonnement pour avoir défendu les droits des noirs Sud Africains,  sa libération, jusqu’au jour où il est devenu président.
Mon opinion sur le livre c'est que Nelson Mandela est un personnage admirable, qu'il a fait un très beau combat pour ses opinons mais c'est injuste qu'il ait  du faire de la prison. C’est bien qu'il soit devenu président de l'Afrique du Sud comme ça il a pu continuer à défendre ses droits.

David Martin 

jeudi 17 mai 2012

"Le gone du Chaâba" d' Azouz Begag par Mylène Ebad


J'ai lu "Le gone du Chaâba" écrit par Azouz Begag, publié aux éditions Points virgule. 

   Ses parents, immigrés d'origine algérienne (Messaouda et Bouzid Begag), se sont installés en France en 1949. Azouz Begag nait 8 ans plus tard (5 février 1957) à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon. Après avoir vécu 10 années à Villeurbanne, la famille déménage dans la cité de Duchère, toujours à Lyon. Très jeune, Azouz Begag, se passionne par la littérature et à 6 ans il rêve déjà d'être professeur.

En 1967 il étudie au collège Saint-Exupéry de la Croix-Rousse. Du 2 juin 2005 au 5 avril 2007, il est Ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Plus tard, il quitte cette fonction pour prendre une part active dans la campagne présidentielle de François Bayrou. Après des études d'économie, il est aujourd'hui chercheur au CNRS (Centre National de Recherche Scientifique) et exerce les fonctions de spécialiste en socio-économie pour la Maison des Sciences Sociales de Lyon ; il est aussi écrivain.
En 1986, il publie son premier roman "Le gone du Chaâba" qui a obtenu le Prix sorcières et le Prix Bobigneries. Ensuite, il a été adapté au cinéma par Christophe Ruggia en 1997. Depuis ce premier succès, Azouz Begag a publié une trentaine de livres dont la plupart sont destinés à la jeunesse (l'immigré et sa ville, béni ou le paradis privé, écarts d'identité, les voleurs d'écritures, la ville des autres, la force du berger, les tireurs d'étoiles, le temps des villages… Et bien d'autres encore).

 Le gone du Chaâba est un roman auto-biographique dont l’histoire se résume à une famille musulmane immigrée dans les années 1970.
Le livre commence par la vie habituelle que connaît le jeune Azouz qui a environ 12 ans. Sa famille et ses voisins vivent dans la banlieue de Lyon nommé le Chaâba. Tous se contentent de peu mais tous se déroule dans la joie et la bonne humeur. Tous les "gones" (enfants) vont à l'école ou travaillent pour des commerçants au marché au prix de quelques centimes par jour seulement. Azouz suit les cours de son école tous les jours, il veut être comme tous les français, être reconnu comme un français, ne pas être différent mais surtout bien travailler : viser la place du meilleur de la classe. Son père ayant des problèmes avec la justice est contraint de déménager avec sa famille, avec très peu d’argent…
La famille affronte une affreuse réalité : quitter le Chaâba, le lieu d’enfance des petits, les habitudes de la famille, l’attachement à cette banlieue ; comment va se passer cet atroce départ ? La famille arrivera-t-elle a s’intégrer dans la société française ? Mais surtout quel sera l’avenir du jeune Azouz dans une famille illettrée aux traditions musulmanes bien ancrées ?

 Ce livre m'a beaucoup plu, mais aussi il m'a touché. J'ai passé des heures entières à me consacrer à cette lecture sans pouvoir lâcher le livre tellement il m'absorbait. L'auteur raconte son histoire avec une telle fluidité et facilité (alors que ce sont des situations difficiles) que je ne pouvais m'arrêter de lire. Il a très bien retranscrit l'univers des banlieues, le problème de l'immigration, l'intégration de la violence ou de la pauvreté avec des mots simples mais percutants, c'est ce que j'ai adoré, qui m'a captivé tout au long de l’histoire. Chaque personnage a un rôle bien à lui et important, ce qui ne nous apporte pas toute l’attention sur Azouz, donc cela devient plus attachant. Malgré cela, mon personnage préféré est bien Azouz ; il montre tant de volonté à s’intégrer dans cette société qui le renie, il est très attendrissant. Très jeune il arrive à faire la part des choses entre la vie qu’il mène à la maison si différente de celle qui l’entoure en dehors, à l’école. J’ai adoré !

mercredi 16 mai 2012

"Le temps des amours" de Marcel Pagnol par Willy Marie-Catherine 3°1

J'ai lu "le temps des amours" de Marcel Pagnol, publié aux éditions de Fallois.
Marcel Pagnol était un écrivain, dramaturge et cinéaste du XXème siècle. Né en 1895 à Aubagne, mort en 1974, Marcel Pagnol est l’aîné d'une famille de quatre enfants. Il eut une enfance heureuse, précoce mais tranquille auprès de ses deux parents, Joseph Pagnol, instituteur et Augustine Lansot, courturière. Lors de ses examens boursiers, il finit second et il entre au Lycée de Thiers en 1905. En 1910, alors qu'il n'a que quinze ans, sa mère meut d'une fragilité pulmonaire et deux ans plus tard, son père se remarie avec Madelaine Jullien, alors que celle ci n'a que huit ans de plus que Marcel. En 1913, à dix huit ans, il obtient son baccalauréat de philosophie avec mention assez bien, il continuera ses études en allant dans une université de lettres à Aix-en-Provence.

Ce récit est autobiographique, il raconte les années de lycée de Marcel Pagnol. Dans le premier chapitre, l'auteur nous dit qu'il a changé et qu'il n'est plus autant portée sur sa famille qu'avant. Il nous dit aussi qu'il a joué plusieurs personnage au cour de sa vie mais qu'il n'avait pas envie que les siens entre dans son "Royaume" car il craignait qu'ils ne puissent faire leur place. Ensuite il nous parle d'une organisation secrète nommée "le Trèfle Rouge" dont il était chef mais qui n'avait pas réellement de but. Puis il nous parle du moment où il faillit perdre sa bourse à cause d'un professeur dont il était la victime. Marcel décida de se venger de son professeur en utilisant le jeu du pendu mais cela lui valu une retenu qui allait lui faire perdre sa bourse. Mais il ne là perdit pas grâce à un ami nommé "Lagneau" qui se dénonça a ça place car lui n'était pas boursier et les retenues n'avait plus de secret pour lui.

Ce que je pense
Dans ce livre mon personnage préféré est Monsieur Sylvain car je le trouve à la fois bizarre et drôle car il a de nouvelle idées à propos du monde qui sont originale mais qui semble vrai et si ses idées étaient vraie, les basses sur lesquelles le monde a été construit serai fausse car il parle D'Euclide, de Pasteur, de Dieu et de Newton. Grâce à ce livre, je me suis demandé si les basse de notre monde était vraie et je me suis demandé à quoi ressemblerait le monde sans les théories de chercheur telle que Euclide, Pasteur? Newton et la présence de Dieu. Il se trouve que le monde n'aurait aucun sens et que nous ferions des choses qui n'auraient aucun sens.
Je trouve que ce livre est bien construit qu'il ne manque rien mais je pense que le chapitre neuf est de trop dans le livre car l'auteur passe d'une rencontre avec un marins à la lutte pour échapper à la peste. Mais ce chapitre mérite quand même d'être lu. Mais le reste de l'histoire est vraiment intéressant et ce livre porte à réfléchir.


Willy MARIE-CATHERINE 3°1

mardi 15 mai 2012

« Escadrille 80 » de Roal Dahl par Charly Arthaud

J’ai lu « escadrille 80 » de Roald Dahl. Ce livre est publié aux éditions Folio junior. Roald Dahl est un écrivain né en 1916 au Pays de Galles et mort d'une leucémie en 1990. Durant sa vie, il a écrit diverses œuvres : des romans pour adultes ou enfants, ou même des recueils de nouvelles… Il eut une enfance difficile : il  perdit son père (atteint d’une leucémie) et sa sœur de 17 ans (emporté par l’appendicite). Sa scolarité fut répartie dans plusieurs écoles d’Angleterre. Ces années passées parfois loin de sa famille influencèrent sa première autobiographie : « Moi, boy ».       
A 18 ans, il s’engage dans la compagnie pétrolière Shell. A l’aube de la seconde Guerre Mondiale, il part en Tanzanie pour son travail, il a alors 20ans. Lorsque la guerre éclate, il s’engage dans la R.A.F. (Royal Air Force) pour combattre les forces de l’Axe. Durant ces deux dernières aventures, il vécut beaucoup de moments exaltants dont il nous fit part dans sa seconde autobiographie, celle que j’ai lue : .                 
Le début de son récit se passe dans le bateau qui l’emmène en Tanzanie : le S.S. Mantola. Roald Dahl nous raconte son voyage à bord de ce navire dans lequel se côtoient beaucoup de personnages tous plus excentriques les uns que les autres… 


Ce que j’en pense
                                                                                                                                   Mon personnage préféré dans ce livre est Mdisho : cette personne que l’on suit au fil de plusieurs chapitres est très attachante. Je pense que c’est à cause de ses diverses opinions sur ce qui l’entoure. J’aime aussi le coté récit d’aventure que prend cette autobiographie : on n’a pas le temps de s’ennuyer. Le seul reproche que je peux cependant faire est celui de la perfection de Roald Dahl, en effet dans ce récit on ne lui trouve aucun défaut…

lundi 14 mai 2012

On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson par Maëva Hessmann

J’ai lu « On est pas sérieux quand on a dix-sept ans » de Barbara Samson, publié aux éditions de Fixot. C’est un genre dramatique sur le thème de l’amour. Barbara est née à Chartres, c’est un auteur français qui a été contaminée par le virus du SIDA à l'âge de 17 ans. Son livre à était adapté dans le téléfilm « Mes 17 ans ».  Ce récit est évidement une autobiographie, il raconte l’histoire de Barbara , une adolescente qui explique sa première histoire d’amour qui va littéralement changé sa vie en 1992. C’est un témoignage de son drame pour qu’il soit évité à d’autre et que l’amour ne soit plus jamais porteur de mort.

Le livre commence par son arrivé dans un centre de repo, c’est la cadette d’une famille de trois enfants qui a des problèmes avec sa mère et classé anorexique. Tout de suite elle eu le coup de foudre pour ce garçon au balcon du centre. Par la suite elle fit sa connaissance avec beaucoup d’admiration pour lui.  Dans le troisième chapitre elle dit enfin connaitre l’amour, chose qui ne lui était jamais arrivé. Ce garçon est plus âgé qu’elle et c’est un ex-toxico mais sa ne l’empêche pas de l’aimer et lui non plus. Très vite le centre ce rends compte qu’il se passe quelque chose entre eux et prends ce garçon, Antony, en flagrant délit dans le lit de Barbara un matin, chose qui était totalement interdit. Les patients du centre sans douté qu’ils étaient ensemble. Antony à était convoqué par la directrice qui lui a juste avertis de ne pas recommencé et lui a sûrement dit autre chose, sauf que cela Barbara n’étais pas encore au courant...

Mon personnage préféré est Soline, la sœur de Barbara car même si elle n’est pas souvent présente dans le récit, elle a sut dire les mots juste à Barbara vers la fin, elle a sut motivé Barbara qui en avait besoin et je pense que si elle n’avait pas fait le premier pas Barbara ne s’en serais surement jamais sorti seule.
Ce livre m’a vraiment fait réfléchir et réalisé que prendre « l’amour » à la légère a des vrais conséquences. Je me suis dit que finalement c’est très simple d’attrapé le virus du SIDA et que le mieux c’est d’évité cela. Je n’imaginé pas l’enfer que sa pouvait être avant de lire ce livre.
J’ai trouvé ce livre très bien, son histoire m’a beaucoup touché. Barbara est une adolescente donc son langage est simple, ce qui personnellement, rends ce livre plus rapide à lire. On comprend très bien se qu’elle a put ressentir, avec certains mots crus. Elle dit à la fin avoir témoigné au Sidaction en 1994 et je trouve sa bien car j’ai put allé le voir sur internet. Il vaut la peine d’être lu et il fait maintenant parti de mes livres préférés.
Maëva Hessmann

jeudi 10 mai 2012

« Vol de nuit » d’Antoine de Saint-Exupéry par Alexandre Polisset

On m’a donné à lire une autobiographie, j’ai donc choisi « Vol de nuit » d’Antoine de Saint-Exupéry qui est publié aux éditions Folio.
         Antoine de Saint-Exupéry, écrivain mais surtout aviateur est né le 29 Juin 1900 à Lyon et mort pendant la Seconde Guerre mondiale le 31 Juillet 1944. Il appartient à la noblesse française mais il perd son père très jeune. Il obtient son baccalauréat en 1917 alors que c’est un élève peu brillant. Ensuite il rate son entrée à l’Ecole navale mais en 1921 il devient pilote lors de son service militaire. En 1926 il rentre dans Latécoère puis en 1929,  il rejoint l’Amérique du Sud où il publiera « Courriers du Sud » et « Vol de nuit » en prenant comme modèle sa vie d’aviateur. Il va aux États-Unis à l’armistice avec comme but de faire rentrer les Américains dans la guerre, il rentre donc dans la résistance. Et enfin en 1944 il rejoint  une unité chargée de reconnaissance photographique pour le Débarquement de Provence. Il décède pendant une mission le 31 Juillet 1944.
Mais son plus grand succès restera « Le Petit Prince » qu’il publiera en 1943 à New York puis en France en 1945.
            Dans les premiers chapitres de « Vol de nuit », on voit Rivière, responsable du réseau aérien, et Fabien, pilote de l’aéropostale. Rivière attend avec impatience l’arrivée du pilote Fabien et de sa cargaison : le courrier de Patagonie. Car le but de Rivière est de prouver que l’avion est plus rapide que le train pour transporter le courrier mais pour cela il est obligé de faire voler les pilotes de nuit malgré les risques qu’encourent ces derniers. C’est alors  qu’un autre avion arrive et son pilote explique à Rivière qu’il a rencontré un violent cyclone pendant le vol. Mais peu de temps après, personne ne reçoit d’informations de Fabien, il est lui aussi rentré dans le cyclone…

            Ce que j’en pense
            Dans « Vol de nuit » le personnage que j’ai préféré est Rivière. Lorsqu’il sanctionne un employé, ses sentiments sont toujours partagés entre le devoir accompli et la pitié envers la personne qu’il a puni. Mais pour se donner bonne conscience il se dit qu’il n’a pas jugé la personne mais l’erreur que celle-ci à commise. C’est cette état d’esprit qui m’a séduit chez Rivière.
             
Avec « Vol de nuit », je me suis posé deux questions :
- Est- il juste de sacrifier la vie de plusieurs hommes pour satisfaire la cause d’un seul ? 
Et, comment une personne est-elle capable de continuer à travailler avec indifférence alors que quelqu’un est mort pour elle?

            J’ai aimé ce livre car il m’a permis de comprendre et d’imaginer les conditions dans lesquelles travaillaient les pilotes à cette époque. J’ai aussi aimé la psychologie des personnages car ils ont tous quelque chose qui leur est propre permettant vraiment de s’attacher à eux. 

POLISSET Alexandre

mercredi 9 mai 2012

« Voyage à Pitchipoï » de Jean-Claude Moscovici par Gabrielle Pauvert


J’ai lu « Voyage à Pitchipoï » de Jean-Claude Moscovici, édition l’école des loisirs, collection Médium. Jean-Claude Moscovici est né en 1936 à Paris. Sa famille étant juive, elle a été victime des lois antisémites propagées dans les pays occupés et des persécutions envers les juifs pendant la deuxième guerre mondiale. Jean-Claude Moscovici a exercé la pédiatrie à partir de 1972.
Ce livre est un livre autobiographique, il raconte l’enfance de Jean-Claude Moscovici depuis sa vie dans sa grande maison à la  campagne, jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. C’est le sort des juifs pendant la deuxième guerre mondiale qui est raconté à travers cet exemple. L’auteur nous racontes ce qu’il lui est arrivé  en nous montrant les choses de son point de vue pour nous montrer la peur que l’on peut avoir dans ces cas là ou l’atrocité de ces choses («…et puis soudain à nouveau ces voix et ces pas qui martelaient les escaliers, et à nouveau leur présence, les faisceaux de lumière qui fouillaient les moindres recoins et les violents coups de bottes qui faisaient vibrer le plancher, les coups de bottes dans tout… jusqu’à ce qu’ils me touchent et que je crie. »).
Le livre commence par raconter la vie de Jean-Claude Moscovici avant et pendant le début de la deuxième guerre mondiale. Il a une vie tranquille. Il vit avec sa grande famille : ses grands parents, ses parents et ses oncles. Mais un jour, des soldats allemands viennent pour déporter son père et ses oncles dans des camps. Plus tard, quand sa sœur a deux ans, les allemands viennent rechercher sa mère. Par miracle, celle-ci réussi à s’enfuir. Jean-Claude Moscovici (qui a alors six ans) et sa sœur sont confiés à des voisins jusqu'à ce qu’une loi interdise l’accueil d’enfants juifs dans les familles françaises. Ils sont donc envoyés dans une prison proche puis transférés au camp de Drancy. Il leur arrivera encore bien des choses avant la fin de la guerre. 

Mon personnage préféré est le père de Jean-Claude Moscovici. Il a l’air attentionné, surtout envers les enfants et il semble être le père parfait. Il n’apparaît que dans le début du livre et il est très regretté par son fils après sa déportation. Il a essayé de continuer à exercer son métier de médecin après les lois l’interdisant. Il voulait aider les gens et c’est ce qui a entraîné sa déportation. Il est courageux.
Ce livre nous montre l’horreur de l’antisémitisme nazi et nous montre que nous sommes tous humain. Cet homme n’a pas mérité ce qu’il lui est arrivé, tous comme les juifs, les tziganes,… qui ont subi les horreurs nazis. Quand on y pense, n’importe qui d’entre nous aurait pu subir ça si il faisait parti d’une minorité, religieuse ou autre et qu’on voulait s’en débarrasser. On peut se demander se que ressentait les juifs adultes quand ils étaient amenés dans les camps. S’avaient-ils vraiment où ils étaient emmenés ? S’avaient-ils qu’ils allaient mourir pour la plupart ? Quels étaient leurs sentiments ? Avaient-ils très peur ?
Et puis comment les soldats pouvait-ils faire ça, à des enfants ? N’y en a t’ils pas qui se sont révoltés ? N’avaient-ils pas de problème de conscience ?
            Ce livre est facile à lire et se lit très vite. Je trouve qu’il résume bien se qui se passait pendant la deuxième guerre mondiale sous l’occupation allemande. Il apporte un plus historique en plus de nous émouvoir. Le style d’écriture est pas mal.

 Pauvert Gabrielle