mercredi 20 avril 2011

Aide pour la danse des 6e 7 (groupe de 16)

Mémo pour la danse des 16 élèves

Attention ceci est des notes prises de manière approximative d’après les vidéos pour vous donner des repères… (bonne chance: les mouvements ne sont expliqués dans le détail)

Les garçons commencent les mains sur les hanches, puis pas sur le côté, en croisant les jambes, puis ils piquent le talon droit vers le sol. Changement de pied : droite / gauche. Puis saut à pieds joints.

Bras croisés décollés du ventre vers l’avant, une flexion vers le bas à droite, en tournant seulement les jambes. On remonte, une flexion vers le bas, à gauche, en écartant les bras vers le haut en remontant.

Tapent du pied 1,2 1,2,3. Les garçons restent bien droits, les mains sur les hanches, poings fermés, pendant qu’ils ne dansent pas.

Les filles arrivent, avancent de 6 pas, et vont se placer en lignes vers l’avant. Puis bras en l’air et tournent sur elles-mêmes (8 temps).

Mettent une main sur la hanche et font un mouvement circulaire avec l’autre main, ensuite même opération en changeant de bras.

Se mettent sur le coté droit, les bras croisés vers l’avant et se mettent sur une jambe et changent, une jambe après l’autre (sorte de ciseaux), en mettant les le buste vers l’avant et les jambes en arrière. Se replacent face au public, tapent des pieds, chacune après l’autre et repartent coté jardin. Se placent à l’arrière de la scène en ligne, les mains sur les hanches.

Les garçons recommencent leurs mouvements de pied comme au début (talons/pointes en croisant et décroisant les jambes). Puis font le mouvement circulaire au sol.
Puis se retrouvent en tailleur au sol. Mouvement de la tête à droite, mouvement de la tête à gauche, un bras en avant, l’autre suit en avant, les paumes de mains sont bien droites en avant face au public. Puis les mains vers le torse et ils tendent les bras vers le ciel.
Ensuite, ils font la chandelle, sautent sur le coté et s’en vont côté cour.

Les filles les mains sur les hanches, puis les mains rassemblées vers l’avant devant le buste, puis ouverture des bras tendus vers le bas décollés du corps (V à l’envers). Les pieds joints en croisant et décroisant les jambes et croisant décroisant les bras (comptez les 8 temps).
Quand les filles sont arrivées sur le devant de la scène en lignes, jambes droites, mouvement au sol : pied droit vers l’intérieur, pied vers l’extérieur et le pied revient au milieu. La même chose avec le pied gauche et on revient joints au milieu. Les mains sont sur les hanches.

jeudi 14 avril 2011

Le village de stand avec les intervenants bénévoles











Journée de la presse : l'évenement

Sous le soleil, on se demande bien bien ce que va être l'évenement de cette année...





Merci à Filo le gitan le guitariste, Khalid Essbaï, Kenza de l'association d'alphabétisation ODA et toutes les chanteuses qui nous ont donné un moment de plaisir et d'émotion en chantant des chants d'ailleurs.

samedi 9 avril 2011

Quelques notes pendant le rencontre avec Jean-Paul Cathala

Rencontre avec Jean-Paul Cathala, metteur en scène et fondateur de la troupe de théâtre « Avant Quart ». Accompagné de 2 comédiens : Philippe Audibert et ???

Pourquoi rencontrer des artistes pour parler de solidarité ?

Jean-Paul Cathala : "Un artiste joue pour être aimé, l’amour c’est la solidarité".

C’est quoi la différence entre comédien et acteur ?

Jean-Paul Cathala : « Le mot acteur, « actor » en latin, c’est "celui qui fait semblant " . Etre acteur c’est le moment où on ne ment plus. C’est le paradoxe du comédien : il doit à la fois oublier le spectateur et à la fois penser au spectateur. L’ego doit disparaitre. Le comédien est en apprentissage en quête de son moi profond. Rimbaud disait « Je est un autre », c'est-à-dire que le poète ne maîtrise pas ce qui s’exprime en lui. C’est un peu pareil pour les acteurs, ils se cherchent…

Pourquoi du théâtre pour les enfants et pourquoi des marionnettes?

Jean-Paul Cathala : « Pourquoi les adultes se tuent-ils à tuer l’enfant qui est en eux ? Les enfants sont les ancêtres des adultes. (…) Pour se libérer du palais, de la mère, il faut retrouver son enfance, c’est le rossignol qui le guide vers l’enfance. C’est pour ça qu’il a la voix de Natalie Dessay (cantatrice soprano). J’ai cherché la plus voix pour interpréter la voix du rossignol. Je dis ça sans aucune démagogie, mais si les politiciens replongeaient dans les espoirs de leur enfance, peut-être qu’ils feraient moins de bêtises. J’ai gardé mes colères d’enfant, notamment celle contre l’injustice ».

Création de la troupe

Jean-Paul Cathala : "Au début dans les années 68, on était un collectif d’artistes : musiciens, clowns, peintres, poètes, acteurs… La troupe a pris conscience que ce n’était pas à Paris qu’il fallait faire du théâtre, mais là où il n’en y avait pas. C’est pour ça qu’avec Ariane Mnouchkine nous avons eu l’idée de créer des pièces pour le jeune public. A l’époque, on ne jouait que des classiques et je pensais qu’il fallait écrire des textes spécifiques ». La notion de compagnie n’est venue qu’après, on était 11. On s’est battu, ce n’était pas facile, car nous n’avions pas de subventions car nous voulions faire du théâtre pour les jeunes et dans la tête des politiciens le théâtre pour les jeunes était du sous théâtre qui ne méritait pas de financement. La création est un combat. (….) .
Je me suis rendu compte qu’il n’y avait que les riches qui pouvaient faire du théâtre et les gens du conservatoire de Paris ne voulaient pas jouer devant des enfants. De toute façon, il arrive souvent que les adultes ne comprennent pas mes pièces : « Vieillir, c’est se mettre des voiles. »


Philippe : Il y a 7 ans, on a crée une pièce qui, au départ, était pour les enfants. On l’a jouée devant des collégiens : le texte leur parlait vraiment. C’étaient des choses qui les concernent. Pourtant, c’est un combat de jouer pour les collèges, les lycées ou les LEP : aucune troupe ne veut y aller. Les comédiens ont peut des publics jeunes. »

Jean-Paul Cathala : « Les comédiens ont peur des collégiens, ils sont mort de peur avant de rentrer ils se disent « est ce qu’ils vont m’aimer ? ».

«Au collège, il y a dans l’emploi du temps des élèves de la musique, de l’arts plastiques mais pas de théâtre, a-ton peur des mots ? a-t-on peur d’apporter des contradictions ».

mercredi 6 avril 2011

Tache K'encre n°28 en ligne !












La triche à l'école : le débat.

Qu’est ce que tricher à l’école, pourquoi on triche ?
Théophile : « On triche pour avoir une bonne note, pour ne pas se faire fâcher par ses parents. C’est quand on a peur d’avoir un mauvais résultat ».
Pourquoi ne pas assumer sa mauvaise note ?
Théophile : « On a peur de vivre un moment désagréable : engueulade, déception des parents… ».
Maxence : « Quand on a de bonnes notes, nos parents peuvent nous offrir des trucs, ils sont fières de nous ».
Guilliam : « Ils peuvent nous priver de télé, console, ou ordi ».
Arwen : « On peut avoir peur du redoublement, on triche pour réussir scolairement ».
Séverine : « On peu tricher par manque d’assurance, même si on a appris, ça rassure ».
Maxence : « La bidoche, ça aide à mémoriser, parce qu’on doit noter le plus important ».
Est-ce que c’est grave ?
Bérénice : «C’est grave, parce qu’on ne sait pas vraiment ce que sait réellement faire ».
Antoine : « On trahit la confiance de celui qui nous évalue ».
Victor : « Tout le monde perd son temps, l’élève qui triche et le prof qui corrige ».
Est-ce-que la triche fait partie du folklore de l’école ?
Maxence : « la triche aux examens est de plus en plus répandue ».
Jacques : « et de plus en plus loin dans les études… Il y a un ministre allemand qui avait copié les 2/3 de sa thèse sur quelqu’un autre, alors qu’il faisait autorité sur ce thème ».
Manon : «Je me demande comment peut-on assumer sa note quand on triche ? ».
On triche pour se protéger et pour réussir.
Pourquoi on vient à l’école ?
Un garçon : « L’école ça sert à apprendre des compétences ».
Mathilde : « L’école ça sert à vivre avec les autres ».
Jacques : « Si l’école c’est aussi apprendre à vivre avec les autres, il faut que ça soit baser sur la confiance et la triche amène la défiance entre les individus. »
Une fille : « On peut tricher mais sur quelque chose de facile, des dates ou des mots de vocabulaire ».
Maxence : « Tricher c’est une habitude comme une autre, ça fait ni chaud ni froid ».
Une fille : « à force de tricher on oublie qu’on triche, et on croit qu’on a réussi sans tricher ».
Victor : « Parfois, il y a des profs qui laissent faire la triche pour acheter la paix dans la classe ».
Antoine : «Ce n’est pas bien, c’est au prof d’imposer une situation où on ne peut pas tricher ».
Victor : «En même temps le prof, ce n’est pas la police, c’est la responsabilité de l’élève ».
Manon : « Quand on triche, on triche avec soi-même ».
Une fille : « Parfois la triche peut être une bouée de sauvetage quand est vraiment nul, on triche pour répondre un peu aux questions, pour ne pas être complètement noyé par rapport aux autres, même si au final on a quand même une mauvaise note ».
Une société d’imposteurs ?
Jacques : « des médecins, des gens qui travaillent dans le nucléaire, des profs, des policiers…. Peut-on imaginer que parmi c’est gens il y est des tricheurs qui n’on pas les compétences pour exercer leur métiers ».
Lucas : « Oui, mais l’école à moins d’enjeux,, ce n’est pas pareil d’être collégien et être chirurgien ».
Lucas : « en CM2, mon maître, il faisait beaucoup de contrôle à l’oral et là, on ne peut pas tricher ».
Arwen : « On peut souffler ».
Victor : Parfois, ils y en a qui soufflent pour montrer qu’ils savent sans laisser le temps à l’élève interroger de répondre à la question, parfois c’est par solidarité. Pour l’élève, qui reçoit la réponse ce n’est pas toujours facile, il reçoit souvent des réponses contradictoires ».
Laurent : « Pour les élèves, le copier/coller ne s’assimile pas à de la triche, alors que c’est du pillage intellectuel. C’est qu’il y a un problème de nos attend sur les élèves ».
???? : « Quand on triche à l’école c’est qu’on attend de moi des bonnes notes. Si on attend d’autres choses alors je ne vais pas tricher ».

mardi 5 avril 2011

Tâche 2 k'encre en libre service au CDI!

Cette fois, pas la peine d'attendre votre tâche 2 k'encre, venez directement le chercher au CDI. Cette "opération autonomie" à pour bus de connaître aussi notre nombre de lecteurs !