mercredi 9 mars 2011

Vipère au poing, encore...


C'est Ophélie qui nous donne sa vision de l'enfance d'Hervé Bazin.
J’ai lu « Vipère aux Poing » de Jean-Pierre Hervé-Bazin plus connu sous le nom de Hervé Bazin, né le 17 avril 1911 et mort le 17 février 1996 à l’age de 84 ans. Né dans une famille bourgeoise et catholique, il est le neveu de l’académicien René bazin. Herve Bazin est inscrit à la faculté catholique de droit d’Angers, mais n’ayant aucune envie d’être dans cette faculté, il refuse de passer ses examens .Il étudie en cachette la botanique (étude scientifique des végétaux). Herve Bazin a eu un accident en allant sur Paris au volant de la voiture de son père, il devient donc amnésique et reste plusieurs mois à l’hôpital. Il commence de nombreux petits boulots et écrit de la poésie. En 1946, il fonde la revue poétique mais malheureusement sans succès. Un an après, il reçoit le prix Apollinaire pour son recueil. Son enfance lui inspire d’écrire en 1948 « Vipère au poing » qui est un succès. En 1957, il obtient le grand prix de littérature à Monaco, en 1960 il est élu membre de l’académie Goncourt, puis devient le président de cette académie en 1973, puis en 1980 il obtient le prix de Lénine.
Vipère aux poing raconte la lutte de Brasse Bouillon (alias Jean Rezeau)et de ses frères contre leur mère violente, méchante, odieuse… Après le décès de leur grand mère en 1922, les parents de Brasse Bouillon et de Ferdinand (son frère ) rentrent de Chine. Mais très vite les relations entre mère et fils tournent au drame, les enfants trouvent donc un surnom à leur mère Folcoche (un mélange de folle et de cochonne ). Folcoche règne donc avec autorité, en battant ses fils et en leur tendant même des pièges pour les battre, leur père lui voit très bien ce qui se passe mais ne dit rien de peur d’être lui aussi « martyrisé ».Mais Brasse Bouillon lui aussi temps des pièges à sa mère qui va tomber dedans… Ce livre et une autobiographie de l’enfance d’Herve Bazin
Le personnage que je préfère et Brasse Bouillon car je trouve qu’il a du courage envers sa mère, pour un petit bonhomme qui n’a que 8 ans. Pourquoi se font-ils battre par leur mère ?
Pourquoi leur mère ne les aime-t-elle pas, ou en tous cas ne montre-t-elle pas qu’elle les aime ?
J’ai beaucoup aimé ce livre, car je trouve que c’est une sacrée leçon de vie, et que ce livre est très bien raconté mais je trouve aussi que ce livre est triste
Ophélie Champion, 3ème1

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