jeudi 3 mars 2011

Le Journal de Zlata, par Ophélie


Sur les traces d'Anne Frank, Zlata... Un autre conflit mais toujours l'enfance face à la guerre.
Regarder, feuilleter, s'informer et...


J'ai lu « Le journal de Zlata » de Zlata Filipovic, publié aux éditions de POCKET junior. Zlata Filipovic était une écrivaine. Né en Décembre 1980, à Sarajevo, Zlata était une fille unique. Elle a vécu une vie confortable jusqu'à cette guerre. Son père était avocat, et sa mère était chimiste. Zlata fêtait juste ses onze ans en pleine guerre, sous les obus. La vie de la petite fille venait juste de commencer et c'était déjà un cauchemar. Jusqu'au jour où Zlata a décidé d'écrire dans son journal, qu'elle surnommera Mimmy. Ce récit parle surtout de la guerre, mais au fond, on ressent la tristesse et la peur de cette petite fille.

Le livre commence par l'impression de la famille Filipovic heureuse, mais à la radio,c'est la guerre dans les villes voisines. Cette guerre se déplaçait, jusqu'à atteindre Sarajevo, Zlata n'allait plus à l'école et cela la contrariait. Les obus tombaient de nulle part, alors la fillette ne pouvait pas sortir dehors. A chaque fois qu'il y avait un bombardement , Zlata et sa famille se réfugiaient dans la grande cave des voisins. Pendant que Zlata écrivait dans son journal, tous ses amis parlaient.
Des journalistes sont venus pour parler avec Zlata, et il ont bien aimé son journal Mimmy. Elle a découvert Paris, grâce à Mimmy , c'était une nouvelle vie, mais sans la guerre , et avec eau et gaz.

Ce que je penseDans ce livre, mon personnage préféré est Zlata , et surtout son journal surnommé Mimmy. Le prénom Mimmy n'apparaît que vers le milieu du livre. Zlata parle à Mimmy, comme si c'était son ami, pourtant, ce n'est qu'un journal. Grâce à ce livre , j'ai pu comprendre, que certains enfants vivent dans la misère et dans la peur. J'ai réussi à me poser une question: « Est-ce que moi j'ai vraiment une bonne vie », eh bien, je pense que je ne devrais pas me plaindre, car de nombreux enfants meurent dans les bombardements. Malgré tout, ce livre porte vraiment à réfléchir et à prendre le temps de « lire entre les lignes ». Au final, je recommande ce livre à des personne qui prendront le temps de le lire et de le comprendre, car Zlata n'avait que onze ans quand elle l'a écrit, alors elle passe de scène à une autre très vite . Je le conseille fortement (198 p).
Ophélie Gagnadoux, 3ème 3

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